De manière générale, lorsque les mécanismes de développement d’une maladie sont occultes, on ne peut pas la guérir.

En effet, il faut en identifier la cause avec précision pour pouvoir espérer agir dessus et assurer une guérison complète, ainsi dans le cas de la fibromyalgie donc la cause exacte reste inconnue, nous ne pouvons donner que des traitements dits “symptomatiques” tels que:

• Les antalgiques de deuxième palier : ayant une plus forte action que les antalgiques classiques, leur administration a permis d’observer de nombreux cas d’amélioration et de soulagement de la douleur ;
• Les antidépresseurs à dose modérée : ont également prouvé leur efficacité sur le syndrome dépressif, mais également sur la douleur (d’ailleurs ceci a mené certains scientifiques à penser que la douleur était d’origine psychique, restez sur www.fibromyalgie.site pour en apprendre plus sur cette histoire ).

C’est tout ?

Eh bien…presque ! D’autres molécules sont rarement utilisées car elles présentent plus d’inconvénients que d’avantages, les corticoïdes par exemple sont contre-indiqués, les anti-inflammatoires ne sont que peu utiles, les anesthésiants sont parfois efficaces mais ont de nombreux effets indésirables donc ils sont peu prescrits…

L’idée à tirer de tout cela est que chaque patient répond différemment, et que le médecin se retrouve souvent dans l’obligation d’adapter le traitement à chaque individu.